Diomaye, un an après

Diomaye, un an après

Jub, jubal, jubanti.
L’éthique et la déontologie pour conduire la rectification

Quand l’éthique, la déontologie et la rectification conduisent le Sénégal sur le chemin de la réussite.
La première année de mandat du Président Bassirou Diomaye Diakher Faye a été conduite sous le sceau du jub, jubal, jubanti qui entame une rupture profonde dans la gouvernance du Sénégal. Partout dans tous les secteurs de la vie, cette rupture systémique est perceptible jusque dans les mentalités et dans la nouvelle manière d’assimiler ce changement de paradigme. Il faut le reconnaître, tant dans l’intelligensia que dans le regard du Sénégalais lambda, du fin fond du pays comme de la diaspora, on perçoit la fierté d’être sénégalais.


Quoi de plus valorisant que de se sentir pleinement responsable de son être et de ses actes dans un pays qui retrouve ses grands équilibres. Qu’il s’agisse du secteur de l’éducation où tout est mis en oeuvre pour créer une rupture systémique en s’orientant vers une société éducative inclusive et démocratique, qu’il s’agisse des autres secteurs sociales où les libertés et les droits des citoyens sont remis à jour, qu’il s’agisse de l’économie qui se relance sur de nouveaux référentiels à partir de la reddition des comptes et de la recherche des grands équilibres financiers, qu’il s’agisse enfin de la diplomatie qui exploite toutes les opportunités qu’offre le soft power dans une démarche de rupture avec les compromis, les connivences et les compromissions qui s’appent les intérêts du pays, partout les balises sont en train d’être posées. Certes, la nouvelle démarche s’opère sans passion ni pression du fait de la complexité des questions mais elle requiert patience et prudence pour tirer le bon grain de l’ivraie et ne pas confondre les problèmes et les solutions. D’où l’importance d’une bonne communication pour accompagner tout ce processus de gestation et de maturation d’un homosenegalensis à bâtir et d’un nouveau Sénégal en construction pour 2050. C’est en celà que la démarche doit être bien comprise par l’ensemble des citoyens appelés à marcher au même rythme pour s’engager dans la même dynamique. Celle d’une rupture systémique dans les pensées comme dans les actes, dans les modes de fonctionnement comme les visions d’un Sénégal ou l’éthique (jub) et la déontologie (jubal) seront les fils conducteurs de la rectification (jubanti).

Mamadou KASSÉ

administrator

Related Articles

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *