LEÇONS D’UNE CRISE POLITIQUE.

LEÇONS D’UNE CRISE POLITIQUE.

L’actualité récente bruit de clameurs alarmistes d’une crise entre les deux faces d’une même pièce politique de notre pays.
Derrière les états d’âme et les réactions parfois épidermiques des uns et des autres, j’y ajoute mes humeurs du jour..
Pour un observateur un temps soit peu attentif à la survenue et à l’évolution des événements ayant conduit à la victoire de PASTEF sur la scène politique nationale, ce qui vient de se passer était prévisible.


Prévisible parce que pour la première fois dans l’histoire politique du Sénégal, un Président a été proposé par un leader politique d’envergure nationale qui a accepté de l’introniser candidat à sa place pour garder la place présidentielle au Parti.
Cette désignation recèle en elle-même un germe d’inconfort qui a donné lieu à cette crise.
A mon humble avis de profane, cela aurait pu etre évité si le PR, 12 mois après avoir restructuré les organes de la Justice, lancé à fond la machine judiciaire sur tous les dossiers pendants et révisé la Loi fondamentale pour clore définitivement la question de la candidature de SONKO à des élections présidentielles entre autres actes forts, avait démissionné pour provoquer des élections Élections présidentielles anticipées afin de réparer ce hiatus d’un PR adoubé par son PM et qui lui serait redevable presque en tout. Un tel acte – toujours possible encore- aurait permis de couper l’herbe de l’amalgame et de la manipulation sous les pieds des comploteurs de l’ombre,toujours prompts à infecter toutes les interstices pour infester l’atmosphère politique entre les deux frères et ainsi tuer définitivement toute tentation de les dresser l’un contre l’autre.
Prévisible parce que les battus d’hier ont compris tout l’avantage qu’ils pouvaient tirer de cette situation inédite pour semer la zizanie en faisant feu de tout bois pour disloquer le tandem..Et ils ont usé de toutes les formes d’armes conventionnelles et non conventionnelles ( infiltrations, fake news, manipulations, mensonges préfabriqués etc…) pour y parvenir.
Prévisible parce que des erreurs de casting incroyables ont émaillé les prises de décisions et les nominations présidentielles donnant lieu à des brouhahas désapprobeurs de nombre de pastéfiens qui ne se sont pas gênés pour le faire savoir par tous les moyens à leur portée.
Prévisible enfin parce que le pouvoir n’a pas pris la pleine mesure des attentes du peuple pour la justice, pour les morts et les martyrs et la reddition des comptes pour tous les prévaricateurs épinglés et même ceux suspectés.
Un vrai cocktail molotov qui a fini par produire la déflagration qui a fortement ébranlé les fondations du duo.
Mais comme le dit l’adage. »A quelque chise, malheur est bon »..il faut donc espérer et même croire que cette crise servira de révélateur pour une rectification en profondeur des couacs , incompréhensions et autres faux-pas qui ont entaché la bonne marche des choses. Il appartiendra à tous les acteurs concernés, du PR au PM en passant par tous les autres responsables politiques de faire preuve de retenue, d’humilité, d’altruisme et de Grandeur pour dépasser cet épisode, somme toute salutaire, pour rectifier le cap et répartir sur de nouvelles bases plus sûres parce que plus consolidées et débarrassées de toutes les scories des comploteurs de l’ombre dûment identifiés.
L’espoir est grand et il est permis. Qu’Allah facilite et garde le tandem et le Sénégal.
Guimba

L’actualité récente bruit de clameurs alarmistes d’une crise entre les deux faces d’une même pièce politique de notre pays.
Derrière les états d’âme et les réactions parfois épidermiques des uns et des autres, j’y ajoute mes humeurs du jour..
Pour un observateur un temps soit peu attentif à la survenue et à l’évolution des événements ayant conduit à la victoire de PASTEF sur la scène politique nationale, ce qui vient de se passer était prévisible.


Prévisible parce que pour la première fois dans l’histoire politique du Sénégal, un Président a été proposé par un leader politique d’envergure nationale qui a accepté de l’introniser candidat à sa place pour garder la place présidentielle au Parti.
Cette désignation recèle en elle-même un germe d’inconfort qui a donné lieu à cette crise.
A mon humble avis de profane, cela aurait pu être évité si le PR, 12 mois après avoir restructuré les organes de la Justice, lancé à fond la machine judiciaire sur tous les dossiers pendants et révisé la Loi fondamentale pour clore définitivement la question de la candidature de SONKO à des élections présidentielles entre autres actes forts, avait démissionné pour provoquer des élections Élections présidentielles anticipées afin de réparer ce hiatus d’un PR adoubé par son PM et qui lui serait redevable presque en tout. Un tel acte – toujours possible encore- aurait permis de couper l’herbe de l’amalgame et de la manipulation sous les pieds des comploteurs de l’ombre, toujours prompts à infecter toutes les interstices pour infester l’atmosphère politique entre les deux frères et ainsi tuer définitivement toute tentation de les dresser l’un contre l’autre.
Prévisible parce que les battus d’hier ont compris tout l’avantage qu’ils pouvaient tirer de cette situation inédite pour semer la zizanie en faisant feu de tout bois pour disloquer le tandem. Et ils ont usé de toutes les formes d’armes conventionnelles et non conventionnelles ( infiltrations, fake news, manipulations, mensonges préfabriqués etc…) pour y parvenir.


Prévisible parce que des erreurs de casting incroyables ont émaillé les prises de décisions et les nominations présidentielles donnant lieu à des brouhahas désapprobeurs de nombre de pastéfiens qui ne se sont pas gênés pour le faire savoir par tous les moyens à leur portée.
Prévisible enfin parce que le pouvoir n’a pas pris la pleine mesure des attentes du peuple pour la justice, pour les morts et les martyrs et la reddition des comptes pour tous les prévaricateurs épinglés et même ceux suspectés.


Un vrai cocktail molotov qui a fini par produire la déflagration qui a fortement ébranlé les fondations du duo.
Mais comme le dit l’adage. »A quelque chise, malheur est bon »..il faut donc espérer et même croire que cette crise servira de révélateur pour une rectification en profondeur des couacs , incompréhensions et autres faux-pas qui ont entaché la bonne marche des choses. Il appartiendra à tous les acteurs concernés, du PR au PM en passant par tous les autres responsables politiques de faire preuve de retenue, d’humilité, d’altruisme et de Grandeur pour dépasser cet épisode, somme toute salutaire, pour rectifier le cap et répartir sur de nouvelles bases plus sûres parce que plus consolidées et débarrassées de toutes les scories des comploteurs de l’ombre dûment identifiés.
L’espoir est grand et il est permis. Qu’Allah facilite et garde le tandem et le Sénégal.


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