Le Réseau mondial d’information sur la santé et la chaleur ou Global Heat Health Information Network, l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Bureau des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophe (UNDRR) travaillent sur un cadre mondial commun pour la gouvernance des risques liés à la chaleur extrême. C’est ce que nous apprend un communiqué rendu public par l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).
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A en croire la même source, le sujet était au menu d’un panel de haut niveau au deuxième jour de la COP30 à Belém, au Brésil, ce mardi 11 novembre sur initiative de l’UNDRR et sous la présidence de Celeste Saulo, Secrétaire générale de l’OMM en présence de Kamal Kishore, Représentant spécial de l’UNDRR ainsi que de partenaires du Royaume-Uni, du Portugal et d’autres pays invités comme le Sénégal. Ce dernier a partagé son expérience sur la gestion des risques liés à la chaleur extrême.
A cette occasion, le Directeur de cabinet du ministre de l’Environnement et de la Transition écologique a souligné le caractère de plus en plus intense des vagues de chaleur au Sénégal, conséquence directe du réchauffement climatique.
Lors de ses interventions, le Professeur Ababacar Gueye, a également mis en avant les efforts de coordination du groupe climat-santé, réunissant l’ANACIM, le ministère de la Santé et de l’hygiène publique, le Centre de suivi écologique (CSE) et la Croix-Rouge sénégalaise. Le communiqué nous renseigne que ces entités élaborent ensemble un bulletin d’alerte précoce sur les vagues de chaleur et leurs impacts sanitaires. « Une démarche concrète pour anticiper, protéger et renforcer la résilience des populations face aux extrêmes climatiques », conclut la même source.

